bercé au rêve américain, grosse voiture meuf taille mannequin
1% qui possède tout le reste se partage presque rien
c’est le monde dans lequel on vit, j'imagine meme pas demain
bientôt 50 sans enfant, j’dois avouer j’men lave les mains
presque un d’mi siècle que j’observe, ce non sens dans l’quel on vit
toutes leurs promesses de bonheur ne me font même plus envie
j’ferme mon coeur, j’ouvre les yeux, je rêve je regarde les cieux
j’me concentre sur le présent car le futur est capricieux

J’ai un amour pour les grosses caisses
j’suis pas comme toi, j’suis pas fan des tes grosses fesses
ecoutes moi.. car faut qu’j’me confesse,
superficiel j’ai l’ego a ramses
600 ch’vaux dans le svr
j’appui a fond, quand ca passe au vert
j’ai le swag d’un mafieu albanai
panerai radiomir au poignet
on m’avais dis gagne de l’argent, met de côté soit intelligent
on m’a mentis, depuis qu’j’suis enfant la richesse ne rachètera pas le temp
j’ai crus qu’l’argent, ferait mon bonheur
mais j’connais leur chanson par coeur
j’suis devenu trop matérialiste par égoïsme ou surement par peur

bercé au rêve américain, grosse voiture meuf taille mannequin
1% qui possède tout le reste se partage presque rien
c’est le monde dans lequel on vit, j'imagine meme pas demain
bientôt 50 sans enfant, j’dois avouer j’men lave les mains
presque un d’mi siècle que j’observe, ce non sens dans l’quel on vit
toutes leurs promesses de bonheur ne me font même plus envie
j’ferme mon coeur, j’ouvre les yeux, je rêve je regarde les cieux
j’me concentre sur le présent car le futur est capricieux

perd pas ton temp… laisse moi, vivre ma vie,
j'entend qu’tu parles encore, mais j'm'en fous de ton avis
nettoie devant ta porte avant de donner des leçons
je t'écoutes pas, je t'écoute plus, je me réfugie dans le son
…perd pas ton temp laisse moi rêver ma propre vie
ce que la société impose ne m’a jamais fait envie
je s’rai pas un de vos clones, je refuse de vivre ca
j’veu rien savoir, j’participe pas, car votre système me déçois
on pointe du doigt les gens différent de nous
manifeste contre leurs droits, je comprend je vous avoue
j’suis marginal au fond leurs yeux, à croire que ca leur pose problème
j’en ai fais qu'à ma tête la libertée comme emblème

bercé au rêve américain, grosse voiture meuf taille mannequin
1% qui possède tout le reste se partage presque rien
c’est le monde dans lequel on vit, j'imagine meme pas demain
bientôt 50 sans enfant, j’dois avouer j’men lave les mains
presque un d’mi siècle que j’observe, ce non sens dans l’quel on vit
toutes leurs promesses de bonheur ne me font même plus envie
j’ferme mon coeur, j’ouvre les yeux, je rêve je regarde les cieux
j’me concentre sur le présent car le futur est capricieux

laissez moi, vivre ma vie,
tu parles encore, mais j'm'en fous de ton avis
nettoie devant ta porte avant de donner des leçons
je t'écoutes pas, je me réfugie dans le son
...Laissez moi. rever ma propre vie
ce que la société impose ne m’a jamais fait envie
je s’rai pas un de vos clones, je refuse de vivre ca
j’participe pas, car votre système me déçois
on pointe du doigt les gens différent de nous
manifeste contre leurs droits, je comprend pas je vous avoue
j’suis marginal au fond leurs yeux, a croire que ca leur pose problème
j’en ai toujours fais qu'à ma tête la libertée comme emblème